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Le conseiller fédéral: «Ce n’est plus un secret défense, je suis un fan de Neuchâtel: en septembre pour la Fête des vendanges et le reste de l’année pour Xamax», confie malicieusement Samuel Schmid, le chef du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS).

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Le président central: «Ce stade est encore plus beau que tout ce que j’aurais pu imaginer». Emu aux larmes, Gilbert Facchinetti a bon espoir que son équipe retrouve rapidement le chemin de la Super league.

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Le «fusionneur»: «C’est un plaisir énorme de vivre une chose pareille. Grâce à mes successeurs, nous allons au-devant de grands succès, mais il faudra lutter», déclare, ému, Gabriel Monachon, artisan de la fusion du FC Cantonal et de Xamax en 1970 et aujourd’hui âgé de… 82 ans.

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L’ancienne gloire: Pour Ueli Stielike, qui a joué trois ans sous les couleurs rouge et noir, il était grand temps que Neuchâtel se dote d’un nouveau stade. «Avant, on avait l’équipe, mais pas le stade, maintenant j’espère que Xamax sera à la hauteur. Si les spectateurs sont au rendez-vous, ils devraient bien jouer», estime l’entraîneur de l’équipe de Côte d’Ivoire.

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Le commentateur: «Même si le nouveau stade est magnifique, je suis nostalgique de l’ancienne Maladière, puisque j’y ai joué sous les couleurs du FC Cantonal dès 1952», concède Rénald Jeannet, speaker à la Maladière pendant 23 ans. Il a tiré sa révérence après avoir commenté la première mi-temps du derby cantonal du dimanche 18 février 2007.

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Le supporter: «Après trois ans de frustration due au déménagement, c’est un énorme plaisir de revenir à la Maladière», explique Reynald Ramelet, supporter de Xamax depuis son plus jeune âge. Et d’ajouter que la destruction de l’ancien stade, celui qui avait accueilli les rencontres de Coupe d’Europe lui avait fait un petit pincement au cœur.

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